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7 août 2007

Libreville la Belle, la Coquette ! (Suite 1)

13895876_mJusqu'en 1968, Libreville, s'il se modernise, se densifie ou s'agrrandit, chnage relativement peu de visage, et les villages qui entouraient le plateau, même s'ils font désormais partie de la Capitale, conservent la plupart du temps leur caractère rural.

A l'avènement du Président Bongo tout commence à s'accélérer.

Tout au long de la mer, depuis l'aéroport, la route est élargie et transformée, sur la dizaine de kilomètres, en autoroute à deux voies, jusqu'à la hauteur du quartier Louis et du pont deemin, tandis que vers le nord par l'excellente route goudronnée conduisant vers le cap Estérias.

Les logements faisant défaut pour les travailleurs qui affluent, des cités populaires sont ouvertes, notamment dans les quartiers d'Akébé et les tout nouveaux Likoula 1 et 2. Un peu partout des marchés modernes s'élèvent, dont celui de Mont-Bouët, ainsi que des bureaux de postes ou des écoles.

Des cinémas, des restaurants, des boites de nuit s'ajoutent à 3 nouveaux hôtels pour accueillir des visiteurs dont le nombre augmente régulièrement. Ces hôtels sont le "Tropicana", le "Gamba", l'"Intercontinental", au carrefour de l'autoroute et de l'avenue Quaben, c'est le tour du "Dialogue" d'attirer les nouveaux venus.

Les premiers jeux de l'Afrique Centrale sont célébrés à Libreville en été 1976. Pour les acceuillir un effort colossal est accompli avec un stade omnisports et dont les nombreux équipements trouvent place dans le vallon qui s'étend en l'hôpital et le quartier Akébé.

La réunion de l'organisation de l'unité Africaine de 1977, qu'elle doit abriter, provoque le séjour de nombreux chefs d'état, de leur suite, de journalistes internationaux et, dans leur sillage de nombreuxs autres personnes. Où les réunir? Ce n'est plus un stade qu'il faut, mais un palais des conférences internationales, avec de nombreux locaux annexes. Pour loger les chefs d'état, un cité de 45 villas, la Cité du 12 Mars est alors édifié qui s'appelle aujourd'hui la cité de la démocratie. Quand à leur suite et à la foule des observateurs étrangers, il est indispensable de prévoir pour eux de nouveaux hôtels. Car malgrés ceux qui se sont élévés depuis quelques années, la pénurie en matière d'hebergement reste grande à Libreville et risque de freiner l'essor d'un tourisme qui ne demande qu'a se developper.

Au début de 1977, l'enfer commençait à l'entrée de ce qui ne s'appelait pas encore le boulevard Triomphale

14197101_met se dirigeait, depuis l'ancien et modeste batiment des Affaires étrangeres, reconstruit depuis sur une tout autre échelle, à travers le quartier des cocotiers. La voie s'arreta d'abord au MBolo, le 1er Hypermarché de la ville. Sur son immense terre plein parking, c'était un va-et-vient continuel de voitures particulières, mais surtout de taxis collectifs déchargeant et rechargeant immédiatement de pleines fournées de clients encombrés de paquets. Les véhicules reprenaient tous le chemin du littoral, provoquant sur le boulevard en plein réaménagement, un imbroglio. Les choses sont rentrées dans l'ordre depuis que le boulevard se raccorde avec le boulevard leon Mba ou l'autoroute. pourtant les clients se sont multipliés au Mbolo qui s'est considérablement agrandi. On ne peut prétendre être Librevillois, même d'adoption, tant qu'on n'est pas allé faire ses courses au Mbolo. grâce à la variété de ses marchandises, à sa situation à proximité des ministères, et autres "points forts" de la capitale, il est devenu un véritable "Salon" où l'on rencontre le tout-Libreville, surtout le soir à la fermeture des bureaux.

A suivre.......

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T
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