La sirène du pont de Gué-Gué a encore frappé
Un haut cadre de la Fonction publique, Patrice M., a été sauvé de justesse de la noyade dans la soirée du 31 mars au Pont de Gué-Gué, à Libreville. Attiré sur la plage par une jeune femme qu’il courtisait, il aurait été, selon ses dires, tiré dans les eaux par une femme qui arborait une queue de poisson.
Sirène, abus d’alcool ou balivernes ! On ne sait quoi penser de l’histoire de Patrice M, un haut cadre de la Fonction publique, sauvé de justesse de la noyade dans la soirée du 31 mars par un gardien.
Revenant de la Sablière à bord de son 4X4 sur le bord de mer, Patrice M. affirme avoir stationné son véhicule au niveau du Pont de Gué-Gué pour aborder une belle jeune femme qui attendait un taxi.
La jeune femme, d’une grande beauté selon le «rescapé», l’aurait invité après quelques instants à marcher ensemble sur la plage, au clair de lune. Baignant ses pieds dans les vagues, la jeune femme se serait ensuite métamorphosée en sirène, attirant sa proie dans les eaux.
«Je n’ai jamais rien vu de tel. Elle s’est mise à me tirer par la main et puis quand je suis tombé dans l’eau, j’ai vu qu’à la place des jambes, elle avait maintenant une queue de poisson, comme une sirène», raconte Patrice M., complètement désappointé par cette expérience. Il a été confié aux soins d’un psychologue face à l’état hystérique dans lequel il a été retrouvé.
C’est un jeune malien, Ahmed, qui lui sauve la mise. Alerté par les cris de la «victime», il a traversé la route en vitesse pour secourir monsieur M., qui selon les dires du gardien, se débattait seul dans l’eau quand il est arrivé pour lui porter secours.
Aucun moyen de confirmer les dires de Patrice M. mais les forces de l’ordre ont affirmé qu’ils allaient mettre en place une brigade spéciale pour lutter contre la criminalité mystique en bord de mer à Libreville.
En tout cas, pour monsieur M. c’est une histoire de drague qui finit en queue de poisson…d’avril !!!